Entre vítores y aplausos, la audiencia expresó su emoción cuando Galilea Montijo anunció la victoria de la influencer Wendy Guevara. Los seguidores gritaron al escuchar el nombre de la “perdida” y luego organizaron un encuentro en el Ángel de la Independencia a través de las redes sociales, similar a una celebración de fútbol, enfatizando que las victorias no se limitan solo al deporte.
El monumento se llenó de admiradores de Guevara, cubriendo la glorieta en Paseo de la Reforma con letreros y fotografías de la campeona. En su discurso de victoria, la “perdida” agradeció a sus seguidores y dedicó el premio a la comunidad LGBTQ+.
La emoción de los fans trascendió la pantalla, ya que varios de ellos salieron a las calles para expresar su admiración por la concursante. En la celebración en el Ángel de la Independencia, se pudieron ver miembros de la comunidad trans celebrando la victoria de Guevara con gritos de alegría.
Algunos de los asistentes a la celebración lucían atuendos rojos y cuernos como referencia a la integrante del “team infierno”.
Carlos Odin
Previamente a que Wendy Guevara fuera coronada como ganadora del reality show, alrededor de 600 personas se reunieron en la Zona Rosa alrededor de una gran pantalla para ver la final de “La Casa de los Famosos México”. La audiencia mostró su apoyo a Wendy con cánticos como “Wendy ya ganó” y “Wendy, campeona, ya eres ganadora”, consignas que se hicieron populares desde los primeros días de su participación en el reality.
En cuanto a la posición de los demás participantes, la primera temporada de “La Casa de los Famosos México” llegó a su fin con el anuncio de que Wendy Guevara, del “Team Infierno”, ganó los 4 millones de pesos. En los momentos finales, Sergio Mayer quedó en cuarto lugar debido a la menor cantidad de votos y tuvo que abandonar la casa.
Carlos Odin
Detrás de Mayer, Poncho de Nigris finalizó en tercer lugar, dejando a Wendy y al actor peruano Nicolla Porcella como posibles ganadores, siendo este último quien quedó en segundo lugar.
Alors que les Français aspirent à profiter de la période estivale pour échapper à l’ambiance morose actuelle, la question financière demeure au cœur de leurs préoccupations. C’est particulièrement le cas en ce qui concerne le prix de l’essence, qui ne cesse d’augmenter au fil des semaines. Et malheureusement, cette mauvaise nouvelle en cache une autre…
Comme dans un cauchemar répétitif, le prix de l’essence est de nouveau en hausse. En augmentation de 10 à 15 centimes par rapport au début du mois de juillet, les prix à la pompe atteignent des niveaux délirants, avoisinant les 2 euros par litre. Et malheureusement, les conducteurs ne pourront plus compter sur la réduction offerte par Leclerc ces dernières semaines.
Le clap de fin pour l’opération de Leclerc
Lors du premier week-end de l’été, plusieurs enseignes, dont Leclerc, avaient lancé une opération “carburant à prix coûtant”. Le principe était simple : les distributeurs renonçaient à leur marge sur chaque litre d’essence pour permettre aux conducteurs d’économiser de 2 à 5 centimes par litre, soit environ 2,50 euros pour un plein de 50 litres. Cependant, Leclerc avait décidé d’aller plus loin en prolongeant cette initiative pendant plusieurs semaines, jusqu’au week-end précédant le 15 août.
Comme on peut le deviner, la date fatidique est passée, et, selon La Dépêche, cette initiative avantageuse pour les conducteurs prend fin :
L’opération “carburant à prix coûtant” se déroulera une dernière fois pendant le week-end du 15 août, du vendredi au dimanche soir. Cette initiative a duré sept semaines pendant l’été, une période où les conducteurs en avaient le plus besoin.
Cette opération n’a peut-être pas fait l’unanimité (certains la considèrent comme un coup marketing, tandis que d’autres soulignent à juste titre que tous les magasins Leclerc en France n’y ont pas participé), mais elle a permis des économies, bien que modérées, dans le contexte actuel. Quoi qu’il en soit, les Français n’ont plus de bouclier face à la montée constante des prix à la pompe.
Cette nouvelle tombe mal dans un contexte déjà difficile, sur lequel Michel-Edouard Leclerc a déjà tiré la sonnette d’alarme à plusieurs reprises. Et il semble que le fondateur de la chaîne de supermarchés ne soit pas optimiste quant au pouvoir d’achat des Français dans les mois à venir, malgré l’atteinte d’un plateau d’inflation. Récemment, il a déclaré à Europe 1 concernant une éventuelle baisse des prix en rayon :
“Il y aura quelques baisses de prix, mais pas à hauteur des 17 % prélevés sur les consommateurs. Il n’y aura pas de baisse de prix massive. Plus précisément, il y aura des promotions pour écouler les invendus des grandes marques qui avaient augmenté leurs prix de manière excessive. Nous devons légalement exiger des fournisseurs qu’ils répercutent les réductions provenant des marchés de gros. Tant que le domaine politique reste dans le discours sans modifier la loi, les industriels ne sont pas tenus de répercuter ces baisses.”
La dernière opération “carburant à prix coûtant” s’est officiellement terminée ce dimanche soir, laissant les Français face à la hausse inexorable des prix à la pompe. C’est une mauvaise nouvelle, d’autant plus au moment où des millions d’automobilistes s’apprêtent à reprendre la route à l’issue du 15 août et dans les deux semaines qui suivront…
Gérald Darmanin envisage-t-il d’être candidat en 2027 ? Le ministre de l’Intérieur a récemment émergé comme possible candidat à l’élection présidentielle, en esquissant le profil d’un candidat idéal qui, selon lui, pourrait remporter le scrutin. Cependant, cette description semble finalement s’appliquer à lui-même.
Dans des entretiens accordés au Figaro avant son voyage en Polynésie pour la semaine prochaine, le ministre de l’Intérieur a préparé le terrain pour “sa rentrée politique”, prévue le 27 août dans son fief de Tourcoing, en mettant l’accent sur les “classes populaires” qu’il estime négligées par les partis politiques. Il a exprimé son inquiétude concernant les événements à venir en 2027, plutôt que de se concentrer sur les élections de 2017 et 2022.
Cependant, cette ambition a été critiquée par certains. Edwige Diaz, députée de la Gironde et vice-présidente du Rassemblement national, a souligné le bilan mitigé de Darmanin en tant que ministre. Elle l’a qualifié de “ministre des fiascos” en évoquant des échecs tels que l’expulsion de l’imam Iquioussen, la gestion des migrants de l’Ocean Viking, les problèmes liés au Stade de France, l’augmentation de l’immigration, ainsi que d’autres problèmes. Elle a également critiqué le fait qu’il envisage sa carrière personnelle malgré les difficultés que traversent les Français.
Gérald Darmanin, pour sa part, considère que le prochain candidat de la majorité à la présidentielle ne devrait pas simplement s’appuyer sur des arguments juridiques et des marchés internationaux, car cela pourrait favoriser les extrêmes et potentiellement conduire à l’élection de Marine Le Pen.
Il critique également le gouvernement actuel pour sa focalisation sur la technique et les statistiques plutôt que sur des problèmes plus humains et concrets, qualifiant certains membres du gouvernement de représentants de “la gauche bobo-libérale”.
La question de l’opportunité de considérer un poste ministériel sous la macronie comme un tremplin personnel a également été soulevée. Certains ministres ont en effet réussi à propulser leur carrière, ce qui a suscité des critiques quant à leur réelle préoccupation pour les citoyens.
En vue de l’élection présidentielle à venir, Gérald Darmanin se positionne comme un rassembleur de la droite, espérant pouvoir défier Marine Le Pen. Cependant, la concurrence au sein de la classe politique est déjà intense, avec plusieurs personnalités de droite telles que Bruno Le Maire, Edouard Philippe, Xavier Bertrand et Laurent Wauquiez susceptibles d’être tentées par la candidature.
Finalement, la politique semble primer sur les liens d’amitié, comme en témoigne le fait que Xavier Bertrand, autrefois proche de Darmanin, n’aurait pas été informé ni invité à l’événement politique du 27 août. La course à la présidentielle de 2027 promet d’être passionnante et pleine de rebondissements.
Alors que Mohamed Bazoum demeure toujours confined within his residence in Niamey, the military coup plotters are threatening to prosecute him for “high treason” and “endangering the security” of Niger.
The perpetrators of the coup in Niger announced on Sunday their intention to “prosecute” the ousted president Mohamed Bazoum for “high treason” and “endangering the internal and external security” of the country, as a threat of military intervention by West African states looms to restore constitutional order.
“The Nigerien government has collected to date” the “evidence to prosecute the ousted president and his local and foreign accomplices before the competent national and international authorities for high treason and endangering the internal and external security of Niger,” stated Colonel-Major Amadou Abdramane, a member of the regime, in a statement broadcast on national television.
The government is basing its accusations on “communications” between Mohamed Bazoum and “nationals,” “foreign heads of state,” and “international organization officials.” Mohamed Bazoum had several conversations with representatives of allied countries before the coup, such as the United States, and members of his political circle.
Regarding the ousted president, the regime called for “questioning the sincerity of his claim that he is being held captive, especially considering that the military never occupied his presidential residence and he still has access to all communication means.”
The military also claims that Mohamed Bazoum “regularly receives visits from his doctor.” According to an advisor to the ousted president, a medical consultation took place on Saturday. “Following this visit, the doctor did not raise any concerns about the health status of the ousted president and his family members,” the military added.
Mohamed Bazoum, held in his presidential residence since July 26 – the day of the coup – along with his son and wife, had stated in several media outlets that he is a “hostage,” deprived of electricity and constrained to eat only rice and pasta.
“Humiliating” Sanctions
Furthermore, the military regime denounced the “illegal, inhumane, and humiliating sanctions by ECOWAS (Economic Community of West African States),” imposed during an organization summit on July 30, during which a 7-day ultimatum was set to restore constitutional order under the threat of the use of force, which has not been implemented.
During this summit, West African states announced the suspension of financial and commercial transactions with Niger, a country economically and energetically dependent on foreign nations. These sanctions “even deprive the country of pharmaceutical products, foodstuffs,” and “electricity supply,” lamented the military in their statement.
These statements come after the military regime welcomed a delegation of Nigerian Muslim religious leaders on Saturday, led with the approval of Nigerian President Bola Tinubu, who also heads ECOWAS, to “ease tensions arising from the prospect of a military intervention” by the organization.
According to a statement from the Nigerian religious mediation, the head of the military regime, General Abdourahamane Tiani, had “declared that his door was open to explore the path of diplomacy and peace in order to resolve” the crisis.
“Standby Force”
Last Thursday, during a new summit, ECOWAS leaders reiterated their preference for diplomatic means to restore President Bazoum to his functions while ordering mobilization and deployment of the ECOWAS “standby force.”
The timetable and details of a potential West African military intervention have not been disclosed. However, Ivorian President Alassane Ouattara, whose country will contribute to this force, stated on Thursday that it should be able to intervene “as soon as possible.” A close associate of Mohamed Bazoum had claimed that the military regime had “threatened” to harm him if an armed intervention took place.
According to General Abdourahamane Tiani, as cited in the Nigerian mediation statement, the military overthrew President Bazoum “due to an imminent threat that would have affected not only the Republic of Niger but also Nigeria.” The new strongman of Niger had justified the coup by citing the “security deterioration” in the country, plagued by the violence of jihadist groups, similar to neighboring Mali and Burkina Faso, also led by military regimes and which expressed their solidarity with Niamey.
Regarding the individuals close to the ousted regime who have been arrested since the coup, the ruling military authorities have affirmed their “firm intention to uphold Niger’s commitments in the field of human rights.”
C’est à l’occasion de la parution d’une nouvelle biographie sur l’ancien président des États-Unis que cette correspondance a refait surface. Le New York Post a obtenu une lettre datant de 1982 et signée par Barack Obama, adressée à sa petite amie de l’époque, Alex McNear. À l’âge de 21 ans et étudiant à l’Occidental College de Los Angeles, où il avait rencontré Alex McNear, Obama partageait dans cette lettre ses réflexions sur l’homosexualité et allait jusqu’à divulguer ses propres pensées intimes.
« En ce qui concerne l’homosexualité, je dois dire que je crois que c’est une tentative de s’échapper du présent, peut-être un refus de perpétuer la comédie interminable de la vie sur Terre », écrivait celui qui deviendrait le mari de Michelle Obama dix ans plus tard. « Tu vois, je fais l’amour avec des hommes tous les jours, mais seulement dans mon imagination », poursuivait-il.
« Mon esprit est non conforme aux genres » Dans cette lettre, Barack Obama témoignait déjà de l’ouverture d’esprit qui le conduirait à soutenir en 2015 la légalisation du mariage homosexuel dans tous les États américains. « Mon esprit transcende les catégories de genre dans une large mesure, et j’espère continuer ainsi jusqu’à ce que je puisse penser en termes de personnes, plutôt qu’en termes de femmes et d’hommes », confiait-il également, ajoutant : « Mais en revenant au corps, je reconnais que je suis devenu un homme, et physiquement, dans la vie, je choisis d’accepter cette réalité. »
La lettre en question a été cédée par Alex McNear elle-même à l’université Emory d’Atlanta.
Trois individus ont perdu la vie dans un incendie qui s’est déclaré dimanche matin dans un immeuble de cinq étages, situé dans le centre historique de la ville de Grasse, dans les Alpes-Maritimes. Les sapeurs-pompiers ont annoncé que l’incendie, désormais sous contrôle, a entraîné la mort de trois personnes. Les noms des victimes n’ont pas été divulgués. De plus, les secours ont identifié un blessé grave et seize personnes présentant des blessures légères. Le capitaine Aymeric Soufflet, en charge de l’intervention des secours, a expliqué que le nombre total de personnes à secourir ne devrait pas changer, mais l’état de santé des victimes pourrait évoluer.
Toutes les victimes ont été évacuées vers différents centres hospitaliers du département. Le capitaine Soufflet a ajouté que parmi les blessés, il y avait potentiellement des individus qui se seraient jetés par les fenêtres dans l’espoir d’échapper aux flammes. Les autorités ont mis en place un périmètre de sécurité autour de la place historique de Grasse. L’incendie a touché au moins les trois derniers étages sur les cinq que compte l’immeuble. Une partie de la façade de l’immeuble est noircie, comme en a témoigné un correspondant de l’AFP sur les lieux.
La police judiciaire est sur les lieux pour mener une enquête et a installé un barnum devant l’immeuble afin de procéder aux premières constatations. Les corps des victimes ont été évacués dans des fourgonnettes stationnées à l’intérieur du périmètre de sécurité. Le parquet de Grasse a déclaré à l’AFP que l’enquête était en cours pour déterminer l’origine de l’incendie. Les pompiers ont reçu de nombreux appels vers 3 heures du matin signalant un important dégagement de fumée dans un immeuble résidentiel du centre-ville de Grasse.
Une vingtaine de personnes vont devoir être relogées. À leur arrivée sur les lieux, les secours ont constaté qu’un incendie violent se propageait dans la cage d’escalier de l’immeuble de cinq étages situé sur la Place aux Aires. Plusieurs personnes se trouvaient aux fenêtres en train de demander de l’aide. Une résidente, Martine, qui vit au deuxième étage et a préféré ne pas divulguer son nom de famille, a témoigné : “Une alarme s’est mise à sonner, puis j’ai entendu des cris, c’est ce qui m’a réveillée. Une femme appelait à l’aide en criant ‘au feu’ et demandait d’appeler les pompiers, ce que j’ai fait. Un homme, au-dessus de son étage, a tenté de descendre pour échapper aux flammes, puis il est tombé.”
L’incendie, dont les causes et les circonstances doivent encore être élucidées, a finalement été maîtrisé. Les sapeurs-pompiers ont précisé qu’une vingtaine de personnes devront être relogées. Malgré le taux élevé de pauvreté dans le centre de Grasse, ville renommée pour ses parfumeries, des efforts de rénovation sont entrepris depuis plusieurs années.
Anniversaire de l’effondrement du viaduc Morandi : Le 14 août 2018, une tragédie frappait la ville de Gênes, au nord-ouest de l’Italie, avec l’effondrement partiel du viaduc Morandi. Sur une portion d’environ 250 mètres, le viaduc s’effondrait, emportant avec lui véhicules et passagers. Le bilan de cette catastrophe s’éleva à 43 morts. Cinq ans après ce drame, l’Italie prévoit de rendre hommage aux victimes ce lundi. En juillet dernier, un procès d’envergure avait été ouvert, mettant en lumière les manquements dans l’entretien du pont. Selon les magistrats en charge de l’enquête, durant les 51 années écoulées entre l’inauguration du pont Morandi en 1967 et son effondrement en 2018, aucune mesure de maintenance adéquate n’avait été prise pour renforcer les haubans du pilier numéro 9, qui s’était affaissé lors du drame.
Les demi-finales se profilent : Les demi-finales auront lieu mardi et mercredi. L’Espagne affrontera la Suède mardi (à 10 heures sur France 3), tandis que l’Australie, vainqueur des Bleues, défiera l’Angleterre mercredi à midi sur M6. Les deux équipes gagnantes se retrouveront dimanche pour la grande finale à Sydney, qui sera diffusée à midi sur France Télévisions.
Exhumation des corps de soldats allemands : Mercredi, débutera en début d’après-midi l’exhumation des corps de soldats allemands exécutés par des résistants français en juin 1944 en Corrèze. Selon les autorités, un total de 46 soldats de la Wehrmacht ainsi qu’une femme française soupçonnée de collaboration étaient enterrés dans une zone boisée à Meymac. Ces fouilles ont été initiées suite au témoignage récent d’Edmond Réveil, ancien membre des Francs tireurs et partisans, un mouvement de résistance communiste, et dernier témoin vivant de l’exécution.
Allocation de rentrée scolaire : Mercredi, trois millions de familles modestes en France métropolitaine, en Guyane, en Martinique et en Guadeloupe recevront l’allocation de rentrée scolaire (ARS). Cette aide vise à soutenir l’achat de fournitures scolaires, d’équipement, de vêtements, etc. Avec des montants variant entre 398,09 et 434,61 euros en fonction de l’âge de l’enfant, les sommes de l’ARS ont été revalorisées de 5,6 % par rapport à l’année précédente.
Commémoration du Débarquement en Provence : Comme les années précédentes, le programme d’Emmanuel Macron n’a pas été dévoilé, mais le président participera à la 79e cérémonie de commémoration du Débarquement en Provence le 17 août 1944 à Bormes-les-Mimosas. Cette ville abrite le Fort de Brégançon où le Président de la République passe actuellement ses vacances. Lors du 78e anniversaire en août 2022, Emmanuel Macron avait dénoncé l’ “attaque brutale” de la Russie en Ukraine.
Nouvelle mobilisation contre les bassins : Un “Convoi de l’Eau” quittera Sainte-Soline à vélo et en tracteur vendredi pour rejoindre Orléans le 25 août, puis Paris, destination finale où une “surprise” est prévue. Cet événement vise, selon les organisateurs, à “alerter de manière festive sur les dangers pesant sur la ressource en eau”. Ils ont annoncé la participation de “500 à 1 000 participants”.
Athlétisme et rugby : Les Championnats du Monde d’Athlétisme débuteront samedi à Budapest. Les Bleus aligneront 78 athlètes (dont 56 pour les épreuves individuelles) pour cette compétition annuelle majeure, qui se tiendra jusqu’au 27 août, un an avant les Jeux Olympiques de Paris. Le même jour, ce sera au tour du XV de France de rassurer après un début de préparation en demi-teinte. Deux matches de préparation restent à jouer pour répondre aux questions, dont un est prévu samedi contre les Fidji.
Initialement prévue en mars dernier, cette visite d’État du roi d’Angleterre avait dû être reportée en raison des risques de violence liés aux manifestations contre la réforme des retraites. Selon “Sud-Ouest”, la visite devrait maintenant avoir lieu en septembre.
L’Élysée n’a pour l’instant fait aucun commentaire sur cette visite, qui, selon le journal, comprendrait deux étapes à Paris et à Bordeaux.
Initialement, la venue du souverain britannique avait été reportée à la dernière minute en mars, juste deux jours avant son arrivée prévue. La France était alors en pleine contestation contre le relèvement de l’âge de la retraite à 64 ans, avec neuf jours de manifestations marqués par des incidents et des violences. Une dixième journée de manifestation était même prévue pendant la visite d’État.
Selon Downing Street, c’est la France qui avait demandé le report de ce déplacement, qui aurait été la première visite officielle à l’étranger du roi depuis son accession au trône. Finalement, il avait effectué une visite en Allemagne, qui avait suivi son déplacement initialement prévu en France.
Selon “Sud-Ouest”, Charles III et la reine consort Camilla sont maintenant attendus en France aux alentours du 20 septembre, avec une étape prévue à Bordeaux le 22 septembre.
En Catalogne, les forces de police ont réussi à empêcher l’excision et le mariage forcé de trois sœurs originaires du Sahel en utilisant un protocole spécial et en intervenant par le biais de la médiation.
Selon notre correspondante à Barcelone, bien que peu de détails aient été divulgués, les autorités policières ont confirmé que les trois sœurs, dont deux étaient mineures, résidaient actuellement près de Lleida, au cœur de la région catalane, avec leur famille. Les jeunes filles auraient exprimé leur intention de retourner dans leur pays d’origine au Sahel, où elles étaient sur le point de subir l’excision et d’être mariées de force.
Les Mossos, la police catalane, ont donc mis en œuvre leur protocole spécifique dans de telles situations. Grâce à des efforts de médiation, ils ont réussi cette semaine à annuler le voyage prévu, y compris l’annulation des billets d’avion, et à sensibiliser les parents aux conséquences de leurs actes. Un suivi médical et policier a également été mis en place pour garantir la sécurité des trois sœurs.
Une approche éducative
Ce protocole de la police catalane a été élaboré en collaboration avec le ministère de l’Éducation nationale, les établissements de santé publique et les services sociaux. Si l’une de ces trois entités, ou même un proche, identifie un risque potentiel, il est de leur devoir d’alerter la police, qui cherche en premier lieu à engager une médiation avec la famille.
L’objectif est d’éviter de recourir immédiatement à la voie judiciaire. Selon une source policière, l’approche consiste plutôt à éduquer les familles qui parfois ne sont pas conscientes de l’illégalité et des souffrances infligées à leurs filles par de telles pratiques. Les familles sont également amenées à signer un engagement par lequel elles promettent de ne pas pratiquer l’excision ni de forcer le mariage de leurs filles, sous peine d’incarcération. Selon une ONG ayant contribué à la conception du protocole en collaboration avec la police, ce document aide également les parents à expliquer leur refus aux membres de leur entourage restés dans leur pays d’origine. En dernier recours, la justice peut ordonner la confiscation des passeports.
Efficacité variable du protocole
D’une part, les statistiques témoignent de l’efficacité du protocole mis en place en 2008 : les Mossos sont intervenus dans une centaine de cas de mutilations sexuelles et une dizaine de mariages forcés cette année-là. Au cours du premier semestre de 2023, la police a empêché 7 cas d’excision et 11 mariages forcés dans la région.
Cependant, il est à noter que certains cas échappent malheureusement à leur vigilance : l’année précédente, deux sœurs pakistanaises vivant près de Barcelone avaient été tuées par des membres de leur famille dans leur pays d’origine alors qu’elles tentaient de se libérer d’un mariage forcé. Cet acte meurtrier, attribué à un crime “d’honneur”, aurait été commandité par leur père. Celui-ci a été arrêté en début d’année en Espagne, où il est accusé d’homicides et de mariages forcés.
Ludivine Sagnier et Nicolas Duvauchelle ont partagé une histoire d’amour au début des années 2000, mais ont fini par suivre des chemins séparés. Néanmoins, malgré leur rupture, les deux acteurs ont réussi à maintenir de bonnes relations.
Ludivine Sagnier, que les téléspectateurs de France 2 retrouveront ce dimanche 13 août dans “Amour et turbulences”, jongle habilement entre sa carrière professionnelle et sa vie personnelle. Bien qu’elle ait accumulé les succès au cinéma, l’actrice de 44 ans est particulièrement fière de la famille qu’elle a construite. Elle a partagé avec le magazine Marie Claire en 2021 : “Mon objectif a toujours été axé davantage sur mon bonheur que sur ma réussite. Je ne pense pas avoir manqué d’ambition, mais plutôt avoir poursuivi mon but en tant que mère de trois filles.”
Elle a ensuite ajouté : “Cela a comporté des prises de risques : j’ai dû décliner des rôles qui m’auraient potentiellement propulsée ailleurs. Je suis quelqu’un qui s’adapte aux opportunités qui se présentent. Je dois avouer qu’à certains moments, j’ai ressenti des regrets, mais je n’y suis pas restée engluée.” Au début des années 2000, Ludivine Sagnier est tombée amoureuse de Nicolas Duvauchelle. En 2005, le couple a accueilli une fille prénommée Bonnie, qui a depuis suivi les traces de ses parents en faisant ses débuts au cinéma.
Cependant, malgré la séparation survenue deux ans après la naissance de leur fille, Ludivine Sagnier et Nicolas Duvauchelle ont réussi à préserver une relation amicale. Dans une entrevue accordée à Biba il y a quelques années, l’acteur de 43 ans a décrit son ancienne compagne comme “une femme exceptionnelle” et une “super maman”.
Nicolas Duvauchelle s’est également exprimé au sujet de leurs liens, malgré la rupture. “Ludivine est également une remarquable actrice. Nous avons vécu un grand amour et nous avons réussi à conserver de très bonnes relations. Je la respecte profondément et j’ai une grande admiration pour elle”, a-t-il déclaré. Une preuve que les séparations peuvent parfois engendrer du positif !
